bibliothèque municipale de Lyon

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

La tradition rapporte qu'un tribun de légion romaine nommé Julien, originaire du Viennois et converti à la foi chrétienne, se réfugia à Brioude et y subit le martyre en l'an 304. Le tombeau vénéré de Saint Julien valut à la ville une énorme affluence de pèlerins, particulièrement à l'époque de Grégoire de Tours (né le 30 novembre 538 ou 539 et mort le 17 novembre 594). Le remarquable pavage polychrome de galets (16e siècle et préroman dans la 5ème travée au centre), très original, qui habille le sol de la nef, fut mis au jour suite à des travaux de restauration (1964-1981). Dans le cadre d'importants travaux de restauration de la basilique, 37 baies ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par l'artiste Kim En Joong, moine dominicain d'origine coréenne, en collaboration avec les ateliers Loire de Chartres. De couleurs vives (orange, bleu, violet, jaune), ces vitraux se marient harmonieusement avec les pierres naturelles, provoquant des jeux de lumière sur les murs et les piliers et conférant à la basilique une atmosphère douce, propice au recueillement. (Guide vert Auvergne Bourbonnais 2023).

Maison de Mandrin : le célèbre bandit y aurait passé la nuit du26 août 1754 en compagnie de sa bande de contrebandiers. Ils venaient de dévaliser le siège de l'entrepôt des tabacs. Même si ce n'est qu'une légende, et que Mandrin, n'a jamais passé la porte de cette belle maison à pans de bois du début du XVIe siècle, la visite des lieux en vaut vraiment la peine. Au rez-de-chaussée, une grande salle couverte d'une très belle voûte réticulée avec des clés armoriées accueille régulièrement des expositions temporaires (Auvergne, GéoGuide, Gallimard, 2021)